La Légende de Saint-Bidoof

Saint-Bidoof est un personnage d'exception qui a marqué tous les esprits.

À l'âge du niveau 1, Saint-Bidoof était un Keunotor à peine éclos de l'oeuf, qu'il présentait déjà des dons en musique incroyables. On raconte même qu'il est né en chantant son nom sur l'air de "My Heart Will Go On", ce qui aurait ému son Dresseur à un point qu'il se jugea indigne d'un Pokémon possédant un tel potentiel et l'abandonna dans un Centre Pokémon.

Très vite, Saint-Bidoof se mit à décupler ses talents : au niveau 3, il écrivit sa première autobiographie de 300 pages, grâce à un crayon fabriqué par l'Infirmière Joëlle pour lui permettre d'écrire avec ses toutes petites pattes.
Ce crayon aurait été taillé dans un arbre à Noigrumes Jaunes^{ref. nécessaire} et on raconte qu'il l'aurait conservé toute sa vie.

Cependant, malgré les téléthons organisés en son honneur, nul Dresseur ne voulait de Saint-Bidoof.
Son espèce étant jugée inférieure et ses talents étant jugés supérieurs à la moyenne, Saint-Bidoof finit par tomber dans une terrible dépression qui lui fit prendre 15 kilos et perdre la moitié des poils de sa queue.

Il eut alors sa célèbre Période Bleu Canard, pendant laquelle il a peint exactement 152,6 tableaux représentant ses terribles tourments d'être à la fois trop chétif et trop savant pour le monde qui l'entourait.
Saint-Bidoof finit par réussir à sortir de sa dépression en voyageant à travers le monde Pokémon afin d'y photographier d'autres espèces de Keunotor, photos que l'on a pu retrouver dans une exposition nommée "À la recherche de moi".

Au niveau 42, il tourne son premier long-métrage autobiographique et accomplit l'exploit d'être non seulement à la fois devant et derrière la caméra, mais aussi à la prise de son, au bruitage, au montage et aux cascades en même temps. Il exécutera le même genre de prouesse lors des représentations théâtrales de ses pièces en étant à la fois sur scène, dans le public, à l'éclairage et à la régie.

Ayant percé le mystère du bug de Cramois'Île, Bidoof atteint le niveau 143 avant de mourir en avalant une gorgée de Soda Cool de travers, laissant derrière lui une flopée d'oeuvres achevées et inachevées, et le souvenir d'un être exceptionnel qui avait le don que de maîtriser toutes les branches artistiques de manière absolue.

Afin de saluer le courage et la labeur de ce héros, il fut canonisé par l'Ordre Powerien en 2016.
En nommant son musée "Musée Saint-Bidoof", Pokémon-Power rend donc hommage à ce maître des Arts, ainsi qu'à tous les Arts de manière générale.

À notre Maître à tous, Saint-Bidoof.

Saint-Bidoof qui es aux cieux,
que ton poil soit sanctifié,
que ton œuf vienne
que ta volonté soit faite
sur les hautes herbes comme sur les rasées.

Donne-nous aujourd'hui notre Bidoof de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses
comme nous pardonnons aussi
à ceux qui préfèrent Zigzaton,
et ne nous laisse pas entrer dans la tentation,
mais délivre-nous des légendaires

(Car c'est à toi et Gobou qu'appartiennent :
le règne la puissance et la gloire,
Aux siècles et surtout demain matin.
Amen.)

Une légende raconte que Saint-Bidoof serait mort en martyr. Son soda cool ayant été empoisonné par un Grahyèna.

Au cours des années de la vie de Saint-Bidoof, un petit groupe de fidèles Pokémons s'étaient mis à vanter ses mérites et à le glorifier. Plusieurs d'entre eux suivaient ses traces, vêtus d'accessoires bleus canard. Puis un jour, un de ses fidèles, un Grahyèna, quitta le groupe. Il avait eu une prise de conscience : porter des accessoires humains était un sacrilège, pour un Pokémon. Selon lui ils devaient revenir à la nature et rejeter tout ce qui venaient des humains. Il fut à ce moment renommé, dans les écrits, Mightyena l'Apostat. Saint-Bidoof n'utilisant que des médiums humains, pour transmettre ses enseignements aux Pokémons, Mightyena l'Apostat devint son ennemi et rédigea de nombreux écrits ayant à l'encontre des enseignements de Saint-Bidoof.

Puis, un jour, Mightyena l'Apostat revint vers Saint-Bidoof, mais, prétextant vouloir faire la paix, il empoisonna le soda cool du Saint. Ce dernier, ayant entendu des rumeurs parmi ses disciples, à ce sujet, était au courant pour le poison, mais but tout de même son soda cool, mourant ainsi en martyr.

On apprendra plus tard, en retrouvant des écrits inachevés de Saint-Bidoof, que d'aucune manière il n'avait voulu avoir des fidèles. Son parcours étant une ascension spirituelle personnelle, elle ne pouvait être suivie à la lettre par d'autre. Il souhaitait ainsi que son oeuvre soit une inspiration et non un guide.

Ceci reste une légende, personne n'ayant trouvé les preuves d'un tel empoisonnement. Aucune trace de Mightyena l'Apostat ne fut retrouvée dans les annales. La question se pose : a-t-il déjà existé ou n'était-il qu'une invention des fidèles pour expliquer la mort ridicule de leur Saint et lui donner une fin digne de son nom ?

Le " Notre Père " épic je compte le montrée a ma prof de caté :')